samedi 19 décembre 2009

dimanche 27 septembre 2009

Réellement irréel !






Les "créations en plastique recyclé" sont de Alejandro GUZZETTI.

lundi 24 août 2009

Préparer ses photos pour PHOTOWEB

PHOTOWEB est un site web où l'on peut télécharger ses fichiers photo et commander des tirages sur papier.

Or, avec la photo numérique il est devenu facile de comparer les tirages « côte à côte » avec les originaux affichés à l’écran. Et là, c’est la déception si les couleurs ne sont pas les mêmes !

Pour éviter cela, il faut respecter à la lettre le processus de la "gestion des couleurs".

Le point de départ consiste à avoir un écran étalonné.
Ensuite il faut utiliser le « profil ICC » qui est fourni par PHOTOWEB sur son site. Ce profil est tout simplement un petit fichier qui contient les corrections à faire pour que les tirages correspondent aux originaux.
Sur un PC il faut le placer ici : C:/WINDOWSsystem32/spool/drivers/color
Puis faire clic droit sur le fichier et choisir « Installer le profil », sinon il n’est pas reconnu par les logiciels.


Au moment de préparer la photo deux méthodes sont possibles pour utiliser ce profil :

- La plus simple consiste à préparer sa photo dans un logiciel de retouche comme Photoshop en réglant contraste saturation luminosité etc... Puis à ce stade il n'y a plus qu'à "convertir" le fichier au profil PHOTOWEB (et surtout ne pas lui "attribuer" ou "appliquer" le profil) et ne plus regarder l'écran car le résultat qui va s'afficher aura des couleurs fausses ce qui est normal. Le fichier obtenu est envoyé à PHOTOWEB pour un tirage SANS RETOUCHES ("retouche ColorPerfect®") bien évidemment puisqu’il est déjà parfaitement corrigé.



- La seconde méthode est plus personnalisée. Elle consiste à utiliser le profil PHOTOWEB pour afficher à l'écran une estimation de ce que devrait être le résultat final du tirage. C'est le mode "épreuve écran activée" avec le profil PHOTOWEB comme "profil cible". Il faut alors savoir corriger le fichier, ce qui nécessite un apprentissage, pour obtenir le résultat souhaité à l'écran. Le fichier est alors envoyé tel quel à PHOTOWEB sans "attribuer" ou "appliquer", ni "convertir". Et toujours pour un tirage SANS RETOUCHES ("retouche ColorPerfect®") comme dans l’autre méthode.




Sans écran étalonné il ne reste plus qu’à utiliser l’option d'optimisation des photos "retouche ColorPerfect®" proposée sur le site et espérer que celà vous convienne car dans ce cas le résultat ne dépend plus de vous.

samedi 15 août 2009

Pêle-Mêle de l'été

Ne cherchez pas il n'y a aucune suite logique :-)

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vendredi 12 juin 2009

Exposer à droite - La polémique

Traditionnellement les cellules qui mesurent la lumière pour pouvoir déterminer l’exposition d’une photo sont calées sur le « gris 18 % ».

Chaque surface sensible (pellicule ou capteur numérique) a besoin d’une quantité fixe et immuable de lumière qui lui est propre pour être exposée correctement. Par contre, la quantité de lumière qui éclaire la scène photographiée est très variable. La mesure de cette lumière permet donc de faire les ajustements nécessaires pour amener sur la surface sensible juste la quantité qu’il lui faut sans que cette surface ne soit ni éblouie, ni à l’inverse victime de cécité.

Lorsque l’on a choisi ce gris 18 % le problème était vraisemblablement d’exposer correctement la plupart des photos en vogue à cette époque, c’est à dire des portraits en plein air sur fond de paysage.
Cela a-t-il vraiment changé ?

Le gris 18% permet d'avoir un visage (avec une peau de type caucasien) bien visible car plutôt claire sur un fond exposé pour donner une luminosité moyenne.

Après le procédé argentique est arrivé le numérique qui dès sa naissance a montré deux faiblesses :
- sa tendance à faire des fichiers qui contiennent beaucoup de bruit parasite dans les zones sombres
- et des zones trop claires qui sont percées et donc d’un blanc uniforme où tous les détails sont irrémédiablement perdus.

Les sujets photographiés ont aussi beaucoup changés et se sont énormément diversifiés. Le visage à la peau blanche cède maintenant souvent sa place à des insectes à carapaces noires et brillantes, des carrosseries au rouge claquant, des portraits en clair obscur, des paysages enneigés, des scènes de nuit, etc.

Le sujet principal étant donc devenu parfois soit très sombre soit très clair l’exposition calculée sur un gris moyen ne peux plus être la solution qu’on utilise systématiquement même si statistiquement elle reste valable le plus souvent.

Il faut noter au passage un cas où elle est très utile. En effet, certaines couleurs déjà très saturées même en faible luminosité changent carrément de teinte si on les éclaircies.
Par exemple, la couleur orange obtenue avec 255/255 unités de Rouge pour 127/255 de Vert et aucune en Bleu (0/255), vire à la couleur saumon si on l’éclaircie puisque le Rouge plafonne à son maximum 255/255 alors que le Vert passe par exemple à 190/255 et que le Bleu fait son apparition avec 127/255. Comme on le constate la proportion entre les couleurs est dans ce cas faussée par l’éclaircissement.

En calant l’exposition au centre avec le gris 18 % (c'est à dire un gris réfléchissant 18 % de la lumière qu'il reçoit) on s’assure que les tons moyens seront bien exposés et les teintes parfaitement respectées. Mais on prend le risque que des zones essentielles pour la lecture de l’image, très sombres ou très claires, débordent de ce que peut enregistrer le capteur et deviennent toutes noires ou toutes blanches.

Dans ce cas là, le créateur de la photo peut choisir délibérément quelles teintes claires seront placées à la limite extrême des possibilités du capteur. Les teintes encore plus claires de la scène seront donc toutes transformées en aplat blanc sur la photo. Par exemple l’ampoule sera toute blanche mais l’applique conservera tous ses détails visibles sur la photo finale.
Ainsi le photographe conserve la maîtrise de sa création au lieu de la confier au hasard.
C’est la technique du « exposer à droite ».
En pratique, on choisi visuellement dans les zones les plus claires de la scène photographiée la limite que l’on veut préserver et au delà de laquelle tout sera traduit par un blanc uniforme. On mesure cette zone limite avec le fin faisceau de la « mesure spot » pour ne pas déborder et on surexpose d’environ 2 indices de luminescense selon les capteurs.

Le « gris 18 % » et « l’exposer à droite » sont deux outils au service du photographe. A lui de s’en servir à bon escient selon le travail qu’il veut accomplir. Pas de quoi polémiquer.

samedi 6 juin 2009

La gestion des couleurs

A première vue, faire de la photo numérique semble facile. Pourtant, aprés quelques déceptions lors de la réception de tirages papier, ou la vision pour la première fois d'un diaporama sur un écran calibré et le doute s'installe. Pourquoi mes tirages sont si mauvais ? A l'inverse, comment des photos peuvent être aussi belles sur un écran ? En fait tout celà peut se maitriser parfaitement, c'est ce qu'on appelle "la gestion des couleurs".

La gestion des couleurs utilise des "espaces" on va dire des palettes de couleurs plus ou moins étendues, donc avec plus ou moins de tubes de couleurs (pour simplifier). Une méthode simple pour ne pas se tromper c'est d'utiliser toujours la même palette de couleur : à la prise de vue avec l'appareil photo, puis avec le logiciel de retouches et enfin pour imprimer ou voir les photos sur un écran. L'espace le plus universel dans ce cas est le "sRVB". On le retrouve dans les paramètres de choix sur les appareils photos et dans les logiciels.

lundi 1 juin 2009

Nouvelle présentation du blog

Je découvre, je tatonne, je cherche... plus clair, plus sombre, avec ou sans cadres...

et finalement j'expérimente une présentation peut être plus agréable à voir. A vous de me le dire.

jeudi 28 mai 2009

TOTALE-GRAPHIE

Le 27 juin 2009 la première édition d'une exposition photo originale à Marseille :
"Totale-graphie - Marché Expo de la photo" va avoir lieu.

J'espère pouvoir y participer dans le cadre d'une projection vidéo présentée par le collectif PIXELARTESE.


lieu : Pergolas du cours Julien, Marseille
Horaire de 10h00 à 22h00


Le concept :

Pour cette première édition, sont invités des artistes qui travaillent sur une base commune de photographie, cette photographie pouvant être constituée d'éléments du réel transfiguré.

Il est possible pour les exposants de vendre sur place, la volonté de la manifestation étant délibérement de rapprocher les artistes du public dans une version « exposition populaire ».

Développements et liens :

Il est envisageable de se lier à des structures marseillaises liées à l'image ou d'essayer de les fédérer avec des formes événementielles variées et propres à chaques structures mais d'établir une communication globale et commune qui porterait le nom de l'événement.

Il est également possible de se lier à des structures géographiquement éparpillés sur le globe pour réaliser un événement international simultanément.

Le projet pourra croître et être modifié d'une année sur l'autre.

L'invitation à rejoindre notre opération pour les années à venir peut être faîte à des individus, à des structures et à des communes.

Les lieux pressentis pour la « dissémination marseillaise » : le cinéma Variétés, les halls & couloirs de la RTM, l'Espace Culture, l'espace Bargemon, le Palais des Arts, et tant d'autres ailleurs...

Coordonnées et infos : ICI

mardi 12 mai 2009

Paris déambulations

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Toutes ces vues ont été faites avec un objectif 50mm f1.4 c'est à dire l'objectif le plus simple qui soit. Je trouve que cette focale de 50mm donne une vision assés intimiste qui me convient bien.

dimanche 19 avril 2009

Un concert bien sympa !





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La photo de concert est une spécialité. Elle a ses contraintes, ses codes et un bon apprentissage est nécessaire pour éviter ses pièges.

J'ai eu l'occasion d'assister à un concert en ayant une quasi totale liberté de mouvements. C'était bien utile. Mais si j'avais pu assister aux répétitions j'aurais pu préparer mes déplacements et mes réglages.

C'était mes débuts dans cette spécialité.

J'attends vos appréciations avec impatience !

samedi 11 avril 2009

Création de la boutique

Une grande nouveauté.

Vous pouvez désormais commander en ligne mes photos.

Le choix de produits est large. Il va du simple tirage jusqu'à la photo encadrée sous verre avec un vaste choix de couleurs pour le cadre. Il y a même la possibilité de faire des tirages directement sur toile comme un tableau.

Pour visiter la boutique virtuelle c'est ICI

samedi 4 avril 2009

Les objectifs à grande ouverture



Les objectifs de nos appareils photo n'ont pas tous les même caractéristiques. Il y a les zooms et les focales fixes (qui ne peuvent pas zoomer donc). Ceux qui cadrent très large ou au contraire très serré.

Une qualité un peu moins connue est "l'ouverture" de ces objectifs. C'est leur capacité à laisser entrer plus ou moins de lumière vers le capteur. Donc le premier avantage des objectifs à grande ouverture est de pouvoir faire des photos même avec peu de lumière. A la chandelle par exemple.

Mais une autre particularité de ces objectifs est elle aussi très intéressante. En effet au plus un objectif est calculé pour laisser passer de la lumière et au plus il "fabrique" du flou si on peut dire.

On peut donc isoler un sujet dans la photo et le distinguer du reste. Il suffit de placer la fine zone nette sur le sujet et tout le reste sera nimbé de flou.

Le phénomène devient très visible en dessous d'une valeur d'ouverture d'environ 2,8 et devient de plus en plus fort lorsqu'on descend vers 1,8 ou 1,4. Rare sont les objectifs qui atteignent 1,2 ou plus.

La photo ci-dessus a été faite avec une ouverture de 1,4.